mercredi 25 septembre 2013

A l'image du dragon, de Serge Brussolo

Le genre : roman français de science-fiction / fantasy L'histoire : Le peuple du soleil a pour ennemi l'humidité, qui représente une menace de mort, et le peuple de la pluie, qui vit de l'eau. Nath, chevalier du soleil, est chargé d'une mission de destruction par le grand prêtre du feu. Mon avis : bof. Comme souvent, les personnages de Brussolo ont une épaisseur intéressante et familière et le monde qu'il dépeint témoigne d'une imagination originale. Mais cette fois, je n'ai pas été franchement interpellée ni par les uns ni par l'autre.

Aucun de nous ne reviendra, de Charlotte Delbo

Le genre : témoignage autobiographique sur Auschwitz Mon avis : poignant. L'auteure ne fait pas de récit, mais livre sous la forme de chapitres parfois très courts proches du poème en prose, parfois plus narratifs, des souvenirs, des flashs, des impressions, sur le temps qu'elle a passé en déportation à Auschwitz. A la fois beau et glaçant.

dimanche 15 septembre 2013

Hell Bent, de William G. Tapply (VO)

Le genre : policier américain L'histoire : nouvelle aventure de lavocat bostonien Brady Coyne, qui voit ressurgir dans sa vie un de ses anciens amours, qui lui demande de s'occuper de s'occuper de son frère, reporter photographe revenu handicapé d'Irak. Mon avis : toujours la même chose ! Les aventures de Brady Coyne se lisent avec un plaisir sans faille. Même dans le désordre. On fréquente Brady comme un bon copain, son entourage familier est le nôtre : ses amis, sa secrétaire ou son chien... Et l'enquête se suit avec intérêt. What else ?

vendredi 6 septembre 2013

Exit le fantôme, de Philip Roth

Le genre : roman américain sur la vieillesse L'histoire : Zuckerman, écrivain de 72 ans, revient à New York où il a longtemps vécu, après avoir passé plus de dix ans dans une maison totalement perdue. Mon avis : pas aimé du tout. Entre le début et la fin, je n'ai vu aucune évolution, sauf mon ennui qui est allé croissant. Fuites urinaires, fantasmes amoureux, atermoiements divers : le propos tourne en rond. On sent beaucoup d'aigreur et de lassitude. Il paraît que Philip Roth est un très grand écrivain contemporain. Si c'est le cas, ce n'est en tout cas pas ce roman qui peut le prouver.