mardi 24 novembre 2009

Seul dans le noir, de Paul Auster


Le genre : roman américain sur l'amour, la famille et l'imagination.

L'histoire : un vieux critique littéraire insomniaque vit dans sa maison avec sa fille et sa petite-fille, unis tous trois par la perte de l'être qu'ils aimaient. Il passe ses nuits à imaginer des histoires.

Mon avis : pas emballée. J'ai lu pas mal de romans de Paul Auster, qui m'ont parfois enthousiasmée (M. Vertigo, par exemple) et parfois laissé seulement un souvenir très tiède. Celui-ci appartiendra à la deuxième catégorie. La première partie du roman avec le rêve d'une Amérique en guerre civile où le personnage sorti de l'imagination du narrateur doit tuer son créateur était une idée prometteuse, qui finalement est balayée en deux lignes ; et lui succède l'autobiographie du grand-père, soumis aux questions de sa petite-fille. Déception ! Je n'ai pas vu le fil directeur de ce roman, qui sans être déplaisant, loin de là, n'en reste pas moins sans envergure.

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