lundi 19 octobre 2009

La Fascination du pire, de Florian Zeller

Avis positif mais sans enthousiasme. J'ai bien aimé la pirouette finale, cet énigmatique effet de manche qui clôt le récit de ce voyage de deux auteurs au Caire pour une série de conférences. Ce qui m'a en fait dérangé, c'est que je n'ai pas su ce que l'auteur voulait vraiment raconter. L'histoire part dans plusieurs directions sans qu'aucune aboutisse véritablement : portraits ? réflexions sur l'amour ? fiction moderne sur les rapports de l'orient et de l'occident ? Il y a de tout cela et d'autres sujets encore, pas inintéressants au demeurant, mais on ne sait pas quel est le véritable propos.

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