Ce roman ne vaut peut-être pas Une prière pour Owen, L'Oeuvre de Dieu la part du diable ou Le Monde selon Garp mais on retrouve les ingrédients des fresques de John Irving.
Ses romans valent pour leur fantaisie d'une part et d'autre part pour la légereté avec laquelle ils abordent des thèmes graves ; ici la mort, le suicide, l'inceste. Pour le foisonnement des idées, je pense un peu à Pennac (que je préfère à Irving !). La quatrième de couverture vante le côté "hilarant" du récit, ce qui est à mon avis très exagéré. Mais si l'on aime les voyages, les personnages pittoresques et les aventures familiales bizarres, on est servi.
lundi 19 octobre 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire